Satoriz: un témoignage

Voltaire signature corrigé

Peu de monde, une seule caisse ouverte. Le vendeur, un jeune homme. D’habitude, j’essaie toujours d’éviter d’être servie par lui, vu la manière dont il manipule le pain, en le touchant plus ou moins avec ses doigts. J’attends que la personne devant moi paie ses achats et me voilà, demandant gentiment un pain, en rajoutant « soyez gentil, prenez le sans le toucher ».  Le vendeur hausse le ton, « je le prends comme il faut », dit-il…

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